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Sécurité de l’enfant dans les transports : Comment détourner la logique de l’accident sans se prendre la tête

 

C’est une journée qui débute comme toutes les autres : le réveil matin, le déjeuner et la préparation habituelle pour se rendre au travail. Avec tout ça, votre tout petit demande votre attention et ne comprend pas pourquoi vous êtes tant pressé de partir.

Ce stress ambiant vous pousse à aller encore plus loin, toujours plus vite au détriment de votre vie de famille. Ces tensions affectent fortement votre bout de chou. Et pourtant, tous les matins vous rêvez que ce début de journée se transforme en promenade agréable en poussette ou en jeu de rôle dans la voiture. 

Pendant ces courtes rêveries, votre inquiétude se dissipe. Mais cet engouement pour le trajet ne dure pas…

Dès que vous sortez de chez vous, les agressions quotidiennes vous rattrapent. Vous repensez alors à ces clips TV de la sécurité routière : le contraste entre les parents contrariés qui attirent les accidents et les adultes sereins à qui rien n’arrive jamais. 

Évidemment, dans les vidéos imaginées par les scénaristes du ministère de l’Intérieur, c’est toujours « facile » : il suffit de moins prêter attention aux stimuli extérieurs, de bien attacher son enfant dans son siège auto…

Penser à ces clips vous trouble davantage, car ce sont des caricatures qui fonctionnent bien sur le papier, mais n’ont pas de rapport avec votre quotidien.

Dans la vraie vie, on vous demande de performer partout, en marchant, en voiture, avec votre poussette, à vélo.

Résultat ? Votre rythme biologique est perturbé, tout comme celui de votre tout petit.

Alors ce joyeux moment avec votre enfant se transforme en calvaire. En tenant de tout assurer, vous avez le sentiment de vous débattre plus que d’avancer. Vous n’avez pas l’impression de rendre heureux votre bout de chou.

En fait, ce mécanisme vous amène dans une seule direction : l’accident de la route.

Précisément ce que vous souhaitez éviter plus que tout au monde. 

Vous savez pourquoi ?

Depuis l’enfance, on vous rabâche que les dangers dans les transports sont soit le fruit du hasard soit de votre responsabilité. Ça permet de rendre l’accident imprévisible tout en vous culpabilisant. En réalité, ce genre d’évènement dramatique arrive selon une logique, comme les maladies.

L’univers des transports : un monde d’adulte qui n’écoute pas les enfants

La nature humaine nous enjoint à choisir la facilité. On cherche toujours le résultat qui concilie tout. Certains l’ont bien compris, et vous proposent des solutions tout-en-un pour transporter votre bout de chou en toute sécurité. Ce sont des chimères.

Ces solutions permettent surtout aux fabricants d’accessoires peu scrupuleux de se couvrir en cas d’accident. S’il y a un problème, vous serez accusé de négligence. 

Sauf que la réalité est différente.

Vous n’êtes pas un robot programmé qui obéit aux algorithmes de crash test utilisés pour la conception de sièges auto, de sièges de vélos ou de poussettes.

Les équipements pour le transport d’enfants ne sont pas toujours adaptés à la circulation. L’univers du trafic routier a été créé par des adultes et pour les adultes. Le monde des transports ne tient pas compte des particularités des tous petits. 

De plus, aucun équipementier ne donne la parole à un enfant pour appréhender sa manière de voir les choses. Et pourtant, ces fabricants comprendraient mieux leurs difficultés :

Sa petite taille ne lui permet pas de voir et d’être vu par les autres. Ce grand espace bruyant perturbe ses repères. Sa perception visuelle n’est pas autant développée que celle d’un adulte. 

Le résultat ?

Son temps d’exploration est plus long. L’enfant a donc besoin d’expérimenter. Vous le savez « faire l’expérience de » signifie avoir le droit à l’erreur. Mais l’univers de la circulation ne pardonne rien.

Conséquence : il y a un décalage entre les conseils à appliquer et l’état de vulnérabilité de votre tout petit.

Ce fossé creuse davantage la logique de l’accident qui vous déstabilise. 

Ce décalage entre en totale contradiction avec votre désir le plus profond : protéger votre bout de chou des vicissitudes de ce monde incroyable. 

Comment ?

En changeant ces moments pénibles en quelque chose de plaisant.

Ces explications vous inquiètent un peu. Votre réaction est saine. Adapter deux mondes contraires et les rendre agréables n’est pas toujours facile.

Pour vous apprendre transformer ces instants difficiles en activités plaisantes, je vais vous partager les points de vue de mères, d’enfants et de tiers, sujets aux péripéties dans les transports.

À la fin de cet article, vous saurez éviter ces soucis qui empoisonnent la vie quotidienne de nombreux parents grâce à des conseils pratiques à mettre en œuvre.

 

La belle vie de la routine quotidienne

 

Chaque matin, c’est la même routine perturbante. Vous vous levez rapidement, énervée, car vous êtes déjà en retard. Tout se précipite : réveiller votre bout de chou, le faire manger, l’habiller. Vous avez très peu de temps pour vous. 

Cette nouvelle journée vous arrive, comme l’angoisse de l’écolier qui a peur de rater son contrôle de maths. La boule au ventre vous accompagne.

Tous ces tracas pour déposer votre tout petit à la crèche et arriver à l’heure à votre travail.  Les attentes sont fortes.

Sortie de la maison, vous mettez votre bout de chou dans son beau carrosse, parcourez les rues jusqu’à la crèche.

Soudain, vous entendez une voiture qui se rapproche rapidement et percute la voiturette aux roues fragiles. Votre enfant est projeté à 50 mètres plus loin. C’est le drame.

Pourquoi ?

Le conducteur est un chauffard sans foi ni loi ? Possible…

…Mais peu probable.

La réalité est plus sournoise. Un véhicule stationnait devant la poussette lorsque vous vous êtes engagée sur le passage piéton. L’automobiliste distrait par les feux de circulation n’a pas vu le petit carrosse. Il pensait avoir le temps de traverser, car pour lui, vous marchiez seule. La voiturette de votre enfant était cachée par une auto.

Voilà les coupables : la poussette et ses roues trop basses.

Conséquence : Un enfant dans une petite voiturette devient la victime d’un monde d’adulte qui ne tient pas compte de son existence.

Alors, comment faire ?

  • Choisissez une poussette avec une assise haute afin d’éviter :
  • Un choc frontal avec un véhicule
  • L’intoxication aux gaz d’échappement de votre tout petit.
  • Optez plutôt pour un modèle stable, de préférence pourvu d’un panier sous le hamac où vous installez votre enfant.

Vous éviterez les sacs à provisions des autres qui s’accrochent facilement à votre poussette et la déstabilisent.

  • Actionnez bien le frein de votre carrosse à roulette quand vous êtes à l’arrêt, histoire que celle-ci ne subisse pas de chocs et autres accidents malheureux susceptibles de traumatiser votre enfant.
  • Vérifiez les dispositifs de blocages et de fermeture de la poussette.

Les poussettes : 2 erreurs courantes plus que contre-intuitives 

 

  • Attachez votre enfant

Oui…je vous l’accorde. C’est plus que contre-intuitif. Carrément illogique. Et pourtant…un mouvement brusque aussi anodin qu’un coup de frein ou un changement de direction va déstabiliser votre tout petit dans son carrosse. Celui-ci risque fort de vriller. C’est la chute assurée. 

Alors attacher votre enfant dans la poussette reste indispensable pour éviter tout problème dans ce type de transport.

  • L’hiver approche : le coup de chaleur 

L’hiver approche à grands pas. La température chute de 30 °C à tout juste 5°C en moins de 72 heures.

Vous craignez que votre enfant prenne froid, alors vous le couvrez…jusqu’à l’absurde.

Dans votre tête, ce mécanisme suit un raisonnement bien précis : votre tout petit va souffrir de ces basses températures si vous ne l’habillez pas chaudement. Vous voulez le garder en bonne santé. Alors, vous appliquez le célèbre proverbe : prévenir c’est guérir.

Malheureusement, l’adage ne respecte pas toujours la biologie humaine. Vous installez votre bout de chou dans la poussette et vous l’attachez convenablement (ce qui est déjà ardu). Ajouter des difficultés à cette tâche relève du parcours du combattant. C’est pourquoi vous l’habillez avec une doudoune très chaude…soit tout ce qu’il faut pour affronter le froid polaire. Un geste en apparence anodin.

En couvrant trop votre enfant, vous l’exposez à une déshydratation qui peut entrainer de graves complications. On pense souvent que les coups de chaleur surviennent seulement l’été. Or, contrairement aux adultes, votre tout petit ne peut pas se découvrir quand il a chaud.

La solution ?

  • Rendez- vous dans un endroit sec, chauffé à une température d’environ 20-23 °C.
  • Enlevez-lui sa doudoune,

Si votre enfant transpire ;

  • Appliquez sur sa tête et sur sa nuque des compresses sèches en veillant à les renouveler fréquemment.
  • Donnez-lui à boire de petites gorgées fraiches, mais non glacées.
  • Dans un cas extrême, appelez les secours.

La voiture : l’invulnérabilité de superman

 

Un matin comme tous les autres, votre boss vous appelle pour une broutille : il faut se rendre plus tôt sur votre lieu de travail pour examiner un dossier urgent déposé la veille.

Un cataclysme se produit. Machinalement, vous attachez votre tout petit dans son siège auto. Vous partez en catastrophe.

Tous les matins du monde sont synonymes de circulation difficile : embouteillages, frustrations, mauvais comportements des automobilistes…les raisons de s’énerver contre les autres conducteurs sont innombrables. 

Pendant ce temps, à l’arrière, votre enfant s’impatiente. Ce trajet stressant pour vous est pour lui, long, fastidieux et fascinant. Mais ça vire vite au cauchemar. Il vous interpelle, bouge sans cesse, dans le but d’attirer votre attention.

Pour lui, regarder par la fenêtre de l’auto est comparable à passer du temps devant un écran d’ordinateur.  Ça lui donne un sentiment d’invincibilité. Ces paysages défilent. Il s’imagine en superman, volant au-dessus des nuages. 

En cause ? La sensation de superpuissance liée à l’habitacle du véhicule. 

Eh oui, vous ne vous en apercevez pas : l’intérieur d’une voiture donne un faux semblant d’invulnérabilité, qui pousse votre bout de chou à se comporter différemment qu’à son habitude.

L’intensité de sa réaction s’explique par le besoin de maîtrise et de sécurité. Il se sent tout puissant dans cet univers qui défile sous ses yeux. Il ne se rend pas compte que tout ne dépend pas de lui, dans une voiture avec un adulte entouré par des centaines de conducteurs énervés.

Pourquoi s’agite-t-il autant alors que ce trajet est déjà si pénible ?

Stressée, frustrée par l’aérodynamisme ambiant, pressée par le temps…voilà que votre enfant, cherche à se détacher pour explorer le monde extérieur à la manière de Clark Kent.

En réalité, votre bout de chou n’a pas conscience de tous ces dangers. Son développement psychologique reste inachevé. Les journées des tous petits sont ponctuées par une série de microévènements. Peu habitués à rester sans bouger dans un même espace. Il veut simplement à casser cette linéarité. 

Comme il ne fait aucune différence entre les émissions TV et les paysages qui se succèdent derrière la fenêtre de la voiture, il se demande pourquoi rester assis dans un siège auto, harnaché, sans faire d’expériences ?

Cependant, vous ne conduisez pas les yeux rivés sur votre enfant. En 2 temps, 3 mouvements son épaule sort du harnais de sécurité, la ceinture passe sous son bras. 

Au même moment, un automobiliste ralentit brusquement sur le périphérique. Vous freinez. Votre enfant glisse vers l’avant et se fracasse contre le pare-brise.

Le harnais du siège auto étant mal fixé, il se détend. L’accident survient. 

Comment éviter ce drame ?

  • Commencez par retirer son manteau et « fixez » votre enfant sur son siège avec les sangles ; puis posez la doudoune sur votre bout de chou.
  • Vérifiez que le harnais de sécurité soit bien serré en tenant de pincer la sangle entre le pouce et l’index (vous ne devriez pas y arriver).
  • Si vous craignez que son manteau glisse, servez-vous d’une couverture placée au-dessus des sangles.

Autre option ?

  • Choisissez un coupe-vent ou un pull suffisamment fin pour l’utiliser dans le siège auto sans faire de réglages particuliers au niveau du harnais.
  • Installez-le assez haut dans son siège, bien fixé, en veillant à ce qu’il voit la route. 
  • Maintenez bien sa tête soit grâce au siège auto, soit à l’aide d’un appui-tête gonflable.

Vous préférez opter pour un système de retenue universel convenant à tous les âges ?

Désolé de vous décevoir. Ça n’existe pas. Au contraire, le système de retenue doit s’adapter au poids de l’enfant, à sa taille, à son développement psychomoteur, plutôt qu’à son âge.

Vous connaissez maintenant les conseils à suivre pour éviter un accident de voiture. Mais quelque chose vous manque. Vous ne savez pas quel type de siège auto choisir parmi les multiples modèles disponibles sur le marché.

Voici une liste de critères à respecter afin d’assurer la sécurité de votre enfant en voiture :

  • Utilisez un fauteuil adapté au poids et à la taille de votre enfant. Idéalement, achetez un siège en présence de votre bout de chou pour déterminer si les sangles se fixent facilement, et si la tête est bien maintenue en cas de choc.
  • Privilégiez les sièges disposant d’un harnais 5 points (2 attaches au niveau des épaules, une entre les jambes et 2 au niveau du bassin).
  • Choisissez un modèle réglable avec plusieurs positions possibles pour les sangles et les épaules.
  • Vérifiez bien que le siège soit conforme à la règlementation européenne i-size imposant un mode de fixation Isofix.

En effet, certains sièges recommandés sur la base de tests sont inadéquats par absence de protections destinées à éviter la déflexion latérale de la tête.

Ces sièges sont testés seulement sur des chocs frontaux. Ils ne prennent pas en compte les chocs latéraux ou les problèmes de fixations.

L’Europe impose depuis juillet 2013, le mode de fixation Isofix. Ce système réduit les erreurs d’installation grâce à la connexion rigide par les deux pinces ISOFIX entre le siège auto et la voiture.

Les fabricants de sièges auto ont mis en place un réglage simultané entre le harnais et la têtière.

Néanmoins, ces sécurités ne suffisent pas. Quelque chose vous fait défaut : comment occuper votre enfant en voiture pour rendre son parcours le plus agréable possible.

Voici une solution : 

  • Animez les trajets
  • À la fois source de curiosité et d’inquiétude, vous pouvez limiter ses agitations en testant les CD/MP3 de comptines, les histoires à partir desquelles votre bout de chou donne libre cours à son imagination.

 

L’erreur courante : Un projectile vivant dans votre véhicule

 

Dans une voiture, l’illusion d’un environnement sécurisant ne touche pas que les enfants. Les adultes aussi se sentent protégés à l’intérieur de l’habitacle… À tort d’ailleurs.

Durant un trajet court, habituel, vous n’avez pas toujours le cœur d’attacher votre tout petit dans le véhicule, particulièrement si ce n’est pas le vôtre. Il faudrait transporter le siège. C’est compliqué, vous ne voulez pas embêter votre ami(e) avec ces détails. Vous prenez alors votre bout de chou sur vos genoux.

Vous l’ignorez, mais vous venez de positionner votre enfant comme un projectile incontrôlable. En cas de collision, à seulement 20 km/h, il se transforme en missile qui dévale la voiture et heurte le pare-brise.

Si l’idée de le ceinturer en même temps que vous, vous traversait l’esprit…surtout… ne le faites pas. Vous l’écraseriez.

Alors que faire pour éviter l’accident ?

  • Vous n’avez pas le choix. Du moment, où votre enfant entre dans ne automobile, le siège auto doit aussi l’accompagner.

Vous voilà, armé, pour lutter efficacement contre les dangers qui guettent votre enfant en voiture.

Mais qu’en est-il du vélo ?

 

L’enfant à vélo : le revers de la liberté libre

 

Amoureux de la nature, de la liberté, le vélo vous met en mouvement. Il fait office de transport et de loisir. Vous êtes heureux à l’idée de faire découvrir votre passion à votre tout petit.

Porté par le mouvement de traction, poussé par le vent, il s’imagine seul survolant la colline entourée par ces espaces verts. Mais son envie de bouger, de vous imiter le rattrape. Vous voyant pédaler, tenir un guidon, il cherche à faire de même. Et comme vous le savez, le risque de chute n’est jamais loin.

Un accident est si vite évité

L’accident n’appartient pas au hasard, mais obéit à une logique bien définie. Les sièges de vélo y participent pour beaucoup.

De 12 mois à 6 ans, la balade à bicyclette se fait en installant votre tout petit dans un siège fixé sur le porte-bagage de votre vélo.

Idéalement, la remorque pour cycliste reste la solution la plus sûre, car celle-ci se renverse rarement lors de chute du vélo ou d’accrochage avec une branche sur le chemin, par exemple. De même, votre enfant sera mieux protégé en cas de collision latérale ou frontale.

Que ce soit pour une remorque ou un siège, votre enfant doit pouvoir être attaché individuellement avec un harnais fixé au châssis. Il ne doit pas être en mesure d’ouvrir la fermeture lui-même.

 

L’erreur courante : Les dangers des belles couleurs

 

Le week-end, vous laissez tomber les vêtements cintrés de la semaine pour enfiler des habits colorés amples et confortables. Par beau temps, sans y prêter attention, vous emmenez votre enfant faire une balade à vélo. Les belles couleurs de votre robe attirent votre bout de chou qui tente tant bien que mal d’attraper un morceau de ce tissu virevoltant. Son siège bascule. Sans crier gare, le siège se détache. C’est la chute.

Alors que faire ?

  • Si vous optez pour un siège de vélo, utilisez un harnais 5 points qui le maintiendra assis.

Eh oui, l’enfant est dans votre dos et non face à vous. S’il se penche en avant vous ne pourrez pas le voir.

  • Quant aux normes à respecter, veillez à ce que cet équipement de sécurité soit conforme à EN14344 et préférez un siège dont la conformité a été vérifiée par un organisme indépendant.

Toutefois, un bon siège de vélo pour enfant ne suffit pas. Les freins jouent aussi un rôle dans la logique de l’accident.

La charge sur la bicyclette étant plus élevée. Les freins doivent être assez puissants pour conserver les distances de freinage de sécurité.

  • Si vous roulez souvent, préférez des freins Shimano tout temps intégrés aux moyeux et insensibles à la pluie.

À l’inverse, les freins à patins demandent un entretien régulier pour rester performants et un contrôle de témoin, d’usure. Difficiles à entretenir, ils menacent la sécurité de votre tout petit lors d’une promenade.

Bien entendu, votre enfant a aussi besoin d’un casque. 

Réflexe essentiel pour assurer la sécurité de votre bout de chou. À lui seul, il permet d’éviter 65% des blessures à la tête. Cependant, n’importe quel casque ne convient pas.

  • Regardez bien qu’il soit conforme à la norme EN 1078.

À vous de jouer

 

Vous allez vous rendre compte que vous avez fait des erreurs. Ce n’est pas dramatique. Vous pouvez les rattraper.

Commencez simplement par mettre en place un conseil après l’autre, en fonction de la situation à laquelle vous êtes confrontée.

Une chose inattendue va se produire : chaque petite action renforcera votre confiance 

Cette confiance deviendra contagieuse. Votre enfant sera le premier à le sentir.

Vous serez fière de vous. Ces moments auparavant angoissants se transformeront en activités agréables. 

Vous avez à présent saisi comment détourner la logique des accidents dans les transports. Désormais, chaque matin, vous répèterez ces gestes qui s’imposeront comme une évidence.

    

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