La parentalité n’est pas toujours facile et le parent parfait n’existe pas. Au cours de mon expérience, de nombreux parents m’ont confié qu’ils se surprennent parfois à faire des choses qu’ils se sont promis de ne pas reproduire en devenant parents. Face à ces parents qui ressentent tellement de culpabilité et les parents dépassés, je trouve essentiel d’aborder le sujet de la parentalité positive. Il s’agit sûrement de la meilleure façon d’assurer la sécurité émotionnelle des enfants et de leur offrir une bonne éducation.
La parentalité positive, c’est quoi ?
Choisir la parentalité positive pour éduquer les jeunes enfants est très encouragé. Il s’agit du juste milieu entre le laxisme et l’éducation autoritaire. Être laxiste, c’est être excessivement indulgent et tolérant envers ses bambins. L’éducation autoritaire concerne les parents autoritaires et trop stricts qui appliquent des règles militaires sur leurs propres enfants.
Pour moi, la parentalité positive, c’est savoir mieux gérer les situations les plus difficiles de la petite enfance comme les pleurs excessifs, les colères, les cris à longueur de journée… sans perdre son calme. Au lieu de crier, parents et enfants privilégient la communication non violente. La parentalité positive, c’est faire preuve de bienveillance et savoir poser des limites. C’est également le fait d’anticiper toutes les risques liées à la sécurité et à la santé de l’enfant. Au lieu de directement donner des fessées pour faire obéir, les super parents favorisent le dialogue bienveillant pour l’éducation de l’enfant. Cette nouvelle manière d’éduquer s’avère très favorable à la réussite scolaire.
Les démarches pour passer à la parentalité positive
Si comme de nombreux parents, vous souhaitez, vous aussi, utiliser le concept de la parentalité positive pour instaurer une relation parent-enfant plus harmonieuse et plus épanouie, vous faites le bon choix. Cependant, vous devez vous rappeler qu’il est impossible de devenir des parents parfaits. Les erreurs sont humaines et vous ne devez pas vous culpabiliser en cas d’échec. Pour faire un pas vers ce concept de la parentalité bienveillante, vous devez tout d’abord vous rappeler de vos blessures d’enfant pour éviter de reproduire les erreurs de vos parents et de vos grands-parents autrefois. Ensuite, vous devez prendre conscience des impacts négatifs des mots que vous employez et de vos attitudes. Apprendre de nouvelles façons de vous exprimer est également indispensable pour des enfants heureux et respirant le bon vivre.
Une bonne communication avec les enfants nécessite une oreille bienveillante. Il vous faut impérativement arrêter de crier et de donner des punitions exagérées. Vous devez procéder par un discours parental calme en toutes situations. Les parents positifs doivent également toujours soutenir leurs enfants.
L’importance du coaching
L’éducation positive, ça s’apprend. Afin d’assurer le développement de l’enfant grâce à une discipline positive, un accompagnement parental est nécessaire. Les coups de main d’un coach peuvent énormément aider dans cette transition. À travers un programme de coaching spécifique, vous pourrez faire face à vos émotions et vos sentiments pour pouvoir mieux les contrôler, en savoir davantage sur l’intention bienveillante et tout savoir sur les pratiques parentales positives. L’accompagnement des parents par des coachs permet aussi d’avoir une oreille attentive à vos craintes. Après le programme, vous allez être capable d’appliquer une toute nouvelle façon d’éduquer et ainsi avoir une vie de famille beaucoup plus heureuse avec une meilleure gestion des conflits.
J’espère que cet article vous a éclairé sur les méthodes pour devenir des parents bienveillants afin d’assurer l’équilibre émotionnel de vos enfants. L’application de la parentalité positive mène à une famille harmonieuse. L’application de cette mode d’éducation peut devenir beaucoup plus facile grâce aux séances de coaching. Je vous recommande donc de faire appel à un coach pour bénéficier d’un soutien à la parentalité et ainsi réussir cette transition avec brio.