fbpx Skip to main content
Tous les articles écrits par

Mila

cododo en toute sécurité

Le cododo en toute sécurité

Ecrit par 0 – 6 mois, 1 an – 2 ans Aucun commentaire

Les premiers mois de votre bébé sont souvent une épreuve difficile, mais merveilleuse à la fois. Entre le biberon, les couches à changer toutes les 3 heures et les pleurs la nuit, votre quotidien n’est pas de tout repos. Et pourtant, vous ne vous plaignez jamais parce que votre petit bout est ce que vous avez de plus précieux. Papa et maman, vous souhaitez mettre en pratique le cododo en toute sécurité pour se simplifier la vie ? Ce couchage est assez sympa, à condition de bien respecter quelques règles pour protéger loulou.

 

Ce que vous devez éviter en cododo

Je vous l’accorde, un nouveau-né dormant paisiblement dans le lit des parents est tellement mignon. En plus, vous pouvez partager des moments de complicité, de partage et d’amour dans votre cocon douillet. Cependant, même si dormir avec bébé est le rêve, vous ne devez jamais perdre en vue les questions de sécurité bébé. Et cela même pendant sa petite sieste. Laisser votre petit ange s’endormir dans votre grand lit demande beaucoup de précaution et de vigilance. Vous devez éviter certaines choses comme :

  • laisser bébé dormir sur un matelas mou ;
  • utiliser des accessoires de literie notamment les oreillers, les coussins et les couvertures ;
  • laisser loulou dormir avec son ours en peluche et son doudou si c’est dernier ne sont pas respirant.
  • placer bébé sur le ventre ou sur le côté ;
  • vous endormir avec votre tout-petit dans les bras ;
  • utiliser un tour de lit trop lourd ;
  • utiliser un tour de lit non respirant.

Pour garder bébé au chaud, le mieux est de le placer dans une gigoteuse ou de lui mettre un pyjama. En évitant ces mauvais gestes, vous pouvez limiter les risques d’étouffement et de mort subite du nourrisson. Adopter ces bons réflexes vous permet d’assurer la qualité du sommeil de bébé et de savourer de chaque instant de la maternité en toute sécurité. Et pour que vous puissiez prévenir tous les risques éventuels avec un bébé dans votre lit conjugal, je vous propose de suivre une formation spécialement dédiée à cet effet dans mon école de secourisme.

 

Quelques façons de pratiquer le cododo en toute sécurité

Pratiquer le cododo en toute sécurité ne veut pas essentiellement dire que vous devez mettre loulou à côté de vous dans le grand lit parental. À l’heure où les articles de puériculture se sont beaucoup développés, vous pouvez lui acheter un lit cododo. Il s’agit d’un berceau qui s’accroche à votre lit et qui permet de rassurer bébé pendant ses premières semaines jusqu’à ses 6 mois environ. Le lit cododo vous permet de partager le même lit avec votre petit bout de chou sans risquer de l’étouffer pendant votre sommeil.

Plusieurs mamans m’ont confié que le berceau cododo leur facilite grandement le quotidien. En effet, elles n’ont plus besoin d’aller dans la chambre de bébé ou de se lever fréquemment pour allaiter pendant la nuit. Néanmoins, pour des raisons de sécurité, vous devez absolument choisir un sommier, un matelas pour berceau et un drap-housse adapté aux tout-petits.

Vous devez également opter pour le meilleur berceau pour bébé cododo. Ce que je conseille, c’est de choisir un berceau bébé réglable en hauteur pour lui permettre de dormir dans un lit à la même hauteur. Le lit évolutif et le lit d’appoint sont assez intéressants. Sinon, un lit à barreaux ouvert équipé d’un réducteur de lit est tout aussi une bonne solution.

 

Formation premiers secours

Formation premiers secours enfant en famille à Toulouse

Ecrit par 3 ans– 4 ans, 4 ans– 5 ans, 5 ans– 8 ans, 7 – 12 mois, 9 ans– 11 ans, Enfant Aucun commentaire

Je suis Amandine, une formatrice SST diplômée et agréée d’État en secourisme et en même temps une maman d’un petit garçon. Je vous propose une formation premiers secours enfant en famille à Toulouse. En effet, je suis moi-même convaincue que tout le monde peut être témoin d’un accident. Pourquoi apprendre les gestes de premiers secours aux enfants ? Quels avantages d’apprendre ces gestes et réflexes en famille ? Que pouvez-vous apprendre au cours des formations que je donne à Toulouse ?

 

Initiation au secourisme pour les petits : les avantages

J’insiste toujours sur le fait que n’importe qui peut être le témoin d’accidents de la vie courante. Pour éviter les accidents mortels et sauver des vies, je conseille d’apprendre les gestes qui sauvent dès le plus jeune âge. Se former aux premiers secours permet aux enfants de donner directement l’alerte en cas d’accidents domestiques. Suite à une formation spécialement pensée pour apprendre à porter secours à une victime, les tout-petits peuvent appliquer tous les gestes nécessaires en situation d’alerte. Durant les sessions de formation, je donne notamment des cours sur comment réagir en cas de perte de connaissance, de brûlures ou encore de saignement. Je vais également aborder le sujet sur quand et comment contacter les sapeurs-pompiers ainsi que sur l’importance de ce geste pour une victime inconsciente.

 

Apprendre les premiers secours en famille, une aubaine à saisir

Le secours des personnes peut parfaitement s’apprendre en famille. D’ailleurs, je conseille vivement cette option si vos enfants sont encore petits. Un bon nombre de gestes (massage cardiaque, bouche-à-bouche, appel des pompiers…) peut être réalisé en sauvetage. Il est beaucoup plus facile pour l’enfant de les assimiler lorsqu’il est en présence de ses parents et pourquoi pas de toute sa fratrie. Par ailleurs, au cours de mes expériences, j’ai constaté que les enfants apprennent beaucoup mieux lorsque l’initiation au secourisme est ludique et surtout lorsqu’il peut la partager avec ses proches.

 

L’âge idéal pour suivre une formation premiers secours à Toulouse

L’apprentissage des gestes de premiers secours peut se faire dès l’âge de 3 ans selon la Croix Rouge. Et je suis entièrement d’accord. Plus l’enfant est jeune, plus l’apprentissage est facile. En situation d’urgence, vos bouts de chou peuvent sauver des vies. Et cela, rien qu’en sachant appeler les urgences.

Susie, une petite fille de 3 ans de Northumbrie, en Angleterre a sauvé la vie de sa maman ayant subi une violente crise d’allergie. Ce qu’elle a fait ? Elle a contacté les secours spécialisés du 112. Puis, elle a suivi toutes les instructions de l’équipe de secouriste jusqu’à l’arrivée des secours.

Si vous aussi, vous souhaitez que votre loulou fasse une initiation aux premiers secours dès son plus jeune âge, je peux vous apporter mon aide à Toulouse. N’hésitez pas à contacter l’école pour en connaitre davantage sur nos formations. Et pour bien préparer votre bambin, vous pouvez vous aider de l’article sur « comment parler de sécurité avec son enfant ? ».

 

aider nos enfants à ne pas avoir peur de tout

Comment aider nos enfants à ne pas avoir peur de tout ?

Ecrit par Enfant Aucun commentaire

Il est normal d’avoir peur. Pour les enfants, la raison de leur crainte vient souvent du changement et de la peur de l’inconnu. Je vous rassure donc : inutile de vous inquiéter si votre loulou vous dit « j’ai peur » face à une chose ou une situation qui lui est étrangère. Cependant, s’il ressent des peurs irrationnelles, que son anxiété est importante, qu’il a peur de tout et que cela l’empêche d’être heureux, vous devez impérativement intervenir. Si vous vous demandez comment aider nos enfants à ne pas avoir peur de tout. Ces différents témoignages et astuces sur comment les autres ont pu se débarrasser des angoisses vont vous intéresser.

 

La peur des ombres, Amélie se confie…

Amélie est l’heureuse maman de Thomas, un merveilleux petit garçon de 3 ans. Pour elle, la maternité se présentait comme un rêve jusqu’au jour où le petit a commencé à avoir terriblement peur des ombres dans sa chambre. Sa peur s’est même transformée en phobies. Dès que la lumière était éteinte, Thomas tremblait de peur en voyant des ombres sur les murs. Bien sûr, ces derniers étaient le fruit de son imagination débordante.

Au coucher, c’est la même chose. L’enfant pleure, fait des crises de panique et des cauchemars. Pour aider le tout-petit à cesser d’avoir peur de tout, notre jeune maman a décidé de lui expliquer d’où provenaient ces ombres en question. Encore mieux, elle a invité son fils à jouer avec la peur pour se rendre compte qu’elle n’a pas d’importance. Et depuis, le petit Thomas a pu se calmer, éviter de développer une phobie grandissante et affronter ses peurs comme un chef.

 

La timidité, une vraie source d’angoisse

Julie est une petite fille de 8 ans avec un énorme souci. Elle est très timide et a peur des gens. Cette timidité excessive l’a empêchée de se faire des amis pendant un certain temps. Pour ses parents, le quotidien était également un véritable enfer. En effet, la fillette avait un grand manque de confiance en soi. Elle avait peur des regards des autres. Elle avait toujours la crainte du ridicule et avait peur d’être confronté à un public.

Pour la libérer de la peur qui la rongeait, l’aide d’une psychothérapeute a été nécessaire. Cette dernière a expliqué à Julie l’importance de déterminer la source de ses propres peurs. Ce qui lui a permis de s’en débarrasser rapidement et retrouver confiance en elle. Et d’après mes expériences, je soutiens l’idée de consulter un spécialiste de la psychothérapie pour affronter les situations hors de contrôle. Un psychologue est capable de proposer une thérapie comportementale pour se débarrasser de ce sentiment obsessionnel.

 

Benjamin, un petit garçon qui a peur de tout et de rien

Il est possible qu’un enfant puisse avoir peur de tout. Malheureusement, cela peut lui apporter des troubles du sommeil et un malaise. C’était le cas de Benjamin, un jeune garçon de 5 ans. Ses parents m’ont confié que Benjamin avait peur de l’avion, peur des araignées, peur d’affronter les situations, peur de la nouveauté, peur du noir… Tout ce qui se présentait le mettait anxieux.

Afin de l’aider à éviter une crise d’angoisse et ne plus avoir peur, ses parents ont enchaîné plusieurs techniques comme l’hypnose et même les traitements médicamenteux sans réellement de succès. Et cela, jusqu’au jour où ils ont appris une chose : il fallait le laisser s’exprimer librement. S’exprimer a permis au petit Benjamin de dépasser la peur de tout et de vivre heureux. Ces derniers lui ont également trouvé une autre solution pour surmonter la peur : un spray que le petit peut utiliser pour se défendre la nuit. Cela peut vous paraître bizarre, mais c’est une méthode pour aider nos enfants à ne pas avoir peur de tout et de rien.

Suivre une formation pour aider nos enfants à ne pas avoir peur de tout

J’espère que vous avez trouvé quelques éléments de réponses à vos questionnements à travers ces témoignages. Avoir peur de se faire mal est également une source de mal-être chez l’enfant. Pour le surmonter, je conseille de lui faire suivre une formation à la prévention des risques d’accidents domestiques dans mon école de secourisme. Sinon, vous pouvez également vous aider de mon article sur « comment parler de sécurité avec son enfant ».

gestes qui sauvent les bébés et les enfants

Apprendre les gestes qui sauvent les bébés et les enfants à Marseille

Ecrit par 0 – 6 mois, 1 an – 2 ans, 2 ans– 3 ans, 3 ans– 4 ans, 4 ans– 5 ans, 5 ans– 8 ans, 7 – 12 mois, 9 ans– 11 ans, Enfant Aucun commentaire

Face aux accidents de la vie courante et tous les éventuels risques pour bébé, il est normal de se sentir angoissé. Entre parents, on se comprend. Cependant, pour pouvoir être capable d’apporter un secours en situation d’urgence, vous ne devez jamais vous laisser submerger par vos émotions et tout de suite adopter les bons réflexes. Et si cela vous semble difficile, je suis là pour vous aider. Pour apprendre les gestes qui sauvent les bébés et les enfants à Marseille, vous pouvez suivre mon programme de formation premiers secours.

 

Gestes qui sauvent les bébés et les enfants : à qui s’adressent nos formations ?

Notre école de secourisme rassemble des mamans secouristes ayant pour objectif de diminuer le nombre d’accidents domestiques autant que possible et de diminuer leurs gravités lorsqu’ils surviennent. Les formations aux premiers secours que nous proposons dans la ville marseillaise s’adressent à tous les parents et futurs parents, aux grands-parents ainsi qu’à toutes personnes amenées à s’occuper des tout-petits.

Ces dernières concernent principalement les baby-sitters, les nounous et peut-être même les grands frères et sœurs. En ayant suivi une formation, vous pouvez mieux gérer les situations de danger comme la brûlure, l’étouffement, la plaie, le bleu, le choc, la chute…

 

Comment se déroule une formation en premiers secours Marseille ?

Pendant l’apprentissage, vous allez être amené à apprendre un bon nombre de gestes pour éviter les incidents mortels chez le nourrisson et l’enfant. Pour vous imprégner de l’apprentissage, vous allez exercer sur un mannequin de secourisme. Les mises en situation sont spécialement pensées pour vous permettre de savoir exactement comment réagir.

Massage cardiaque, bouche-à-bouche et autres gestes d’urgence vont être mis en exergue pendant le cours. Puis, à la fin de la formation aux gestes de premiers soins exposée par notre maman sauveteur-secouriste à Marseille, vous allez bénéficier d’une attestation de formation. Celle-ci vous permet de toujours vous rappeler que vous êtes bel et bien capable de faire les bons gestes qui sauvent les bébés et les enfants en danger.

 

Pourquoi apprendre les gestes qui sauvent les bébés et les enfants ?

Maîtriser les techniques de prévention des risques est très important. Surtout lorsque vous avez des enfants à la maison. En effet, les bouts de chou sont très actifs et les accidents de la vie sont surtout fréquents chez nos bambins. Il est judicieux de suivre des formations aux premiers secours. Par ailleurs, je les conseille vivement si vous n’avez pas encore d’expérience avec les bébés. Cela vous permet de connaitre les gestes simples qui peuvent éviter les catastrophes et sauver des vies.

En effet, suivre une formation vous permet aussi de réaliser les gestes avec calme et en évitant le stress. En effet, avec une formation de base, vous pouvez connaitre tous les risques possibles en amont de leur déroulement.

 

Que faire en cas d’accident ?

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de suivre une formation spécialisée pour donner les premiers soins, vous pouvez être en panique. Or, cela risque d’empirer les choses. Dans ce cas précis, je vous conseille de respirer un bon coup, puis d’alerter les secours. Les sapeurs-pompiers et les personnels médicaux sont les plus en mesure d’examiner la victime et de la secourir. En attendant, il faut appliquer les gestes de premiers secours :

  • Sécuriser le lieu de l’accident (d’autre danger supplémentaire peut se présenter : incendie, circulation, électricité…)
  • Vérifier l’état de la victime (est-elle consciente ? Respire-t-elle toujours ?)
  • Appliquer les gestes de premiers secours de manière calme et non précipitée (c’est au cas par cas : étouffement, arrêt cardiaque, saignement, inconscience, etc.)

En effet, la Croix Rouge recommande vivement les formations de secouriste aux parents et futurs parents. Plus vous connaissez les premiers gestes à adopter selon le cas de la victime, plus ses chances de survie augmentent !

parler de sécurité à son enfant

Comment parler de sécurité avec son enfant ?

Ecrit par Enfant, JE PROTEGE Aucun commentaire

La protection de l’enfance recommande aux parents, grands-parents et tuteurs de parler de la sécurité dès le plus jeune âge. Et je suis entièrement d’accord. Pour prévenir les risques au mieux, vivre en harmonie et en toute sécurité, le mieux est de responsabiliser les jeunes enfants le plus tôt possible. Cependant, il n’est pas tellement facile d’aborder le sujet. Dans les lignes suivantes, je vais vous donner quelques conseils pour parler de sécurité avec son enfant.

 

Parler de sécurité avec son enfant : les règles de base en premier

Au préscolaire, les enfants sont parfaitement en mesure de comprendre les règles de sécurité. Vous pouvez donc en parler ensemble et à cœurs ouverts. Cependant, pour que l’apprentissage soit efficace, vous devez suivre une règle psychologique. Pour la petite enfance, il est préférable d’aborder le sujet d’une manière ludique. Vous pouvez, par exemple, utiliser une logique imaginative. Vous pouvez aussi illustrer vos explications avec les intérêts spécifiques de l’enfant lorsqu’il respecte bien les règles sécuritaires.

 

Aborder le sujet des violences physiques

Les violences faites au niveau physique peuvent nuire grandement à l’enfant. Malheureusement, les enfants peuvent être victimes de violences à l’école et même à la crèche. C’est pourquoi je vous conseille vivement d’en parler. Et le plus tôt sera le mieux. Les enfants confiés à une famille d’accueil sont les plus souvent touchés par ces violences. Pour les protéger du danger, vous pouvez leur enseigner comment réagir face à une maltraitance. Par exemple, vous pouvez leur apprendre à se défendre. Vous pouvez aussi leur expliquer pourquoi et comment contacter les services sociaux.

 

Discuter ensemble avec un psy

Pour les enfants présentant des troubles du comportement, je conseille la consultation de spécialiste comme un psychologue pédiatre. Cet expert est en mesure de parler calmement des dangers qui rôdent dans l’environnement et d’informer le jeune enfant sur les risques qu’il encourt sans pour autant l’effrayer. Pour les enfants autistes, je recommande vivement cette option. En effet, parler avec eux peut être plus délicat.

 

Parler des droits de l’enfant

Chaque enfant a des droits. Un mauvais traitement est inacceptable. Pour que l’enfant puisse toujours se sentir protégé, vous pouvez lui parler des gestes qu’il peut adopter pour affronter une personne souhaitant lui faire du mal. Les attaques peuvent être d’ordre psychologique ou physique. C’est donc à vous de trouver les bons mots pour mettre l’enfant en confiance et ainsi protéger l’enfance.

 

Parler des dangers domestiques

Les dangers de la vie courante commencent à la maison. Il peut s’agir de coupure, de brûlure, de chute ou autres petits accidents du quotidien. Dès que loulou peut comprendre pourquoi un tel ou tel acte est dangereux pour lui, vous pouvez discuter ouvertement de la sécurité et des moyens de se protéger au mieux. Et si vous avez besoin d’aide, je suis là pour vous. Je peux coacher les familles dans la prévention des risques d’accidents domestiques. Les formations que je propose sont à la fois ludiques et enrichissantes. À la fin des cours, vos enfants sauront exactement ce qu’est la sécurité et comment faire pour en bénéficier.

Cet article vous a-t-il aidé ? Je vous invite à le partager à d’autres parents dans votre entourage.

apprendre à cuisiner seul

Apprendre à cuisiner SEUL : quand nos enfants en sont-ils vraiment capables ?

Ecrit par Activité enfant, JE PROTEGE, La cuisine Aucun commentaire

En observant papa ou maman cuisiner, loulou peut être tenté de mettre la main à la pâte. Les parents peuvent concocter de bons petits plats avec leurs enfants pour partager des moments de complicité. Seulement, lorsque le bout de chou souhaite faire la cuisine sans votre aide, c’est toute autre chose. Le stress et l’angoisse peuvent vite monter. Ainsi, à quel âge les jeunes enfants sont-ils vraiment capables d’apprendre à cuisiner seul ?

L’âge idéal pour apprendre à cuisiner seul

Il n’y a pas vraiment d’âge pour laisser un enfant seul en cuisine. Les accidents domestiques peuvent arriver à n’importe qui. D’autant plus s’il s’agit d’enfants et d’adolescents. Le mieux est de toujours surveiller le bambin parce que les risques de brûlure et de blessure en restant seul dans la cuisine sont très élevés. À ce sujet, je donne des formations sur la prévention des risques d’accidents domestiques pour vous aider à mieux protéger vos loulous.

De nombreux établissements proposent en ce moment des ateliers pour les petits commis dès 3 ans même s’il n’y a pas d’âge minimum pour apprendre les bases de la cuisine.

Les bonnes raisons d’apprendre aux enfants à cuisiner

L’apprentissage de la cuisine est bon pour le développement de l’enfant. Il permet non seulement de développer ses habiletés, mais également accroître ses capacités niveau psychomoteur. En effet, les techniques culinaires, surtout si vous utilisez la pédagogie Montessori, sont considérées comme des jeux d’éveil ludiques pour les tout-petits. La cuisine permet également d’aider les enfants à être plus autonomes et à ne plus faire des caprices au moment de prendre leur repas. Vous pouvez même lui apprendre à être propre grâce à ce type d’apprentissage.

Quelques outils indispensables pour apprendre à cuisiner

Pour que votre bambin puisse apprendre la diversification alimentaire et la cuisine en général en toute sécurité, je vous conseille de lui acheter les ustensiles spécialement adaptés. Ainsi, vous pouvez limiter les accidents de la vie courante autant que possible. Les couteaux pour petits commis et tous autres outils nécessaires sont disponibles dans les magasins spécialisés.

 

Quels comportements adopter en tant que parents

Les comportements des parents pendant l’apprentissage de la cuisine sont d’une grande importance. En effet, pendant cette étape de sa vie, le tout-petit a besoin d’un maximum d’encouragement. Je vous conseille de bien soutenir l’enfant afin qu’il puisse adopter les bonnes habitudes en cuisine.

L’idéal est de toujours utiliser une expression positive et bienveillante et éviter de crier. Cela va améliorer grandement vos relations parent-enfant tout en permettant au bambin de mieux assimiler ce qu’il apprend. Vous pouvez également le récompenser par des friandises et des câlins lorsqu’il accomplit les bons gestes.

Lorsque loulou commet des erreurs, vous devez lui expliquer ce qu’il fallait faire. Une punition n’est pas vraiment adéquate pendant l’apprentissage de la cuisine. Une bonne initiation repose sur la patience et la bienveillance.

Pour avoir de la patience et toujours mener nos enfants au succès, passer à la parentalité positive est la meilleure marche à suivre. Et surtout, vous devez toujours montrer à l’enfant que vous avez confiance en lui. Cette méthode d’éducation de l’enfant permet d’améliorer les relations avec la famille et d’éviter un contrôle parental trop excessif. En outre, la parentalité bienveillante permet d’assurer la sécurité des bambins lorsqu’ils apprennent la cuisine seuls.

Mon enfant pleure pour les petits bobos — Comment savoir si c’est grave ?

Ecrit par Enfant Aucun commentaire

Les journées de votre bébé sont toujours très actives. Cela est tout à fait normal puisqu’il considère son environnement comme un mystère qu’il faut décrypter. Cependant, depuis que loulou a appris à marcher, vous ne comptez plus le nombre de chutes qu’il fait. Et à chaque fois qu’il tombe ou qu’il se cogne, il ne fait que pleurer. Le bisou magique ne suffit plus à calmer les pleurs de votre tout-petit ? Exagère-t-il ? Comment savoir si un bobo est grave ? Les réponses !

 

Les signes pour savoir si un bobo est grave

Les nourrissons et certains enfants sont très sensibles à la douleur. Si à la moindre égratignure votre bout de chou hurle de douleur, c’est qu’il figure sans nul doute parmi les plus sensibles. Néanmoins, à un certain âge, il peut tout simplement s’agir d’un manque d’affection et d’un besoin de pleurer pour refouler une décharge émotionnelle. Dans les deux cas, vous devez toujours rester à l’écoute de votre tout-petit et le consoler avec des mots positifs. Et pour savoir s’il s’est réellement fait mal ou qu’il ressent de l’inconfort, il vous suffit de bien l’observer. Quand bébé présente les signes suivants, c’est qu’il a sûrement mal quelques parts :

  • Bébé pleure d’une manière aiguë ;
  • Il a de la fièvre ;
  • Il a des troubles digestifs ;
  • Les cris et les pleurs sont trop intenses ;
  • Son front et ses sourcils sont crispés ;
  • l’enfant agite les bras dans tous les sens ;
  • Il reste longtemps dans une position anormale ;
  • Le bébé reste immobile ;
  • Ses gestes deviennent lents ;

Bien évidemment, à partir de 18 mois, bébé est capable de s’exprimer. Il vous sera alors plus évident de savoir s’il ressent de la douleur ou non. Vous pourrez alors prendre bébé dans les bras et le bercer pour l’encourager à parler davantage de ce qui lui fait mal pour pouvoir le soulager.

 

Les bons gestes à faire pour soulager un bobo

Si votre enfant fait une crise de larmes, que ses pleurs inconsolables vous inquiètent ou qu’il fait sans cesse des gestes incompréhensibles, je vous conseille de l’emmener voir son pédiatre. Le spécialiste est le seul à être en mesure d’examiner loulou et donc de savoir si un bobo est grave ou non. Si vous êtes certain que ses bobos ne sont pas graves et qu’aucun bleu ni bosse n’est apparu, vous pouvez le réconforter avec un câlin.

Pour les coliques du nourrisson, vous pouvez pratiquer un petit massage sur son ventre en suivant le sens des aiguilles d’une montre. Vous pouvez aussi utiliser de l’huile de coco pure pour calmer les pleurs du nourrisson en cas de coliques. S’il ne cesse de pleurer parce qu’il s’est aperçu qu’il a eu une petite blessure, vous pouvez tout de suite lui faire un petit pansement. L’allaitement et le biberon sont également efficaces pour calmer le bébé après une piqûre chez le médecin ou à la suite d’un vaccin obligatoire.

 

L’importance de connaitre les gestes de premiers secours en cas de bobo

D’après mon expérience, il est toujours préférable de savoir exactement comment réagir face à un enfant qui pleure à la suite d’un bobo. D’ailleurs, c’est l’une des principales raisons pour lesquelles je recommande toujours les formations aux premiers secours.

Si vous n’avez pas encore trouvé l’école de secourisme qui réponde à vos besoins, je vous suggère de rejoindre notre équipe de mamans secouristes. Nous pouvons vous accompagner dans l’apprentissage de la prévention des risques et tous les bons réflexes pour éviter les accidents domestiques.

enfant de 2 ans ne respecte pas les interdits

Mon enfant de 2 ans ne respecte pas les interdits au risque de se mettre en danger

Ecrit par 1 an – 2 ans, Enfant Aucun commentaire

Depuis quelques semaines, votre enfant enchaîne les bêtises. Il touche à tout, il monte sur les meubles et veut tout avaler. Bref, votre enfant de 2 ans ne respecte pas les interdits que vous lui imposez au risque de s’exposer aux dangers domestiques. En tant que parents, vous vous posez des questions sur vos méthodes d’éducations. Vous êtes même parvenu à vous culpabiliser. Si vous avez un jeune enfant de 2 ans et que vous vivez cette situation, cet article est pour vous. Nous allons creuser un peu le sujet ensemble pour pouvoir trouver des solutions.

 

La cause la plus courante des bêtises

Lorsque votre enfant fait l’inverse de tout ce que vous dites, vous avez tendance à dire qu’il fait des bêtises. Je vous avoue que moi aussi, j’ai eu cette habitude jusqu’au jour où j’ai compris que ces bêtises en question n’étaient en réalité que des maladresses.

En effet, le cerveau des tout-petits est programmé pour explorer un monde de découverte et expérimenter. Il n’a pas conscience des accidents liés aux gestes qu’il fait et des séquelles qu’ils peuvent engendrer (asphyxie, brûlure, intoxication, électrocution, étouffement…) Lorsqu’il tape sur vos téléphones portables ou qu’il essaie de monter tout seul sur la table à langer ou sur la chaise-haute il n’a qu’une intention : expérimenter.

 

Faut-il gronder votre enfant de 2 ans ?

Les tout-petits ne doivent pas être grondés à chaque fois qu’ils font un geste déplacé. Cela peut les empêcher d’avoir confiance en eux. Si vous souhaitez enseigner le respect des choses à votre loulou, je vous interdis de le lui obliger. Pour être respectueux, il doit être convaincu.

Par exemple, vous pouvez lui expliquer pourquoi il faut enlever les chaussures avant de monter sur le lit au lieu de tout simplement le lui interdire. Vous pouvez également lui expliquer pourquoi ne pas descendre seul des escaliers et les conséquences d’une chute dans l’escalier.

 

Un enfant de 2 ans ne respecte pas les interdits : quoi faire ?

Les interdictions peuvent susciter la curiosité du tout-petit. Au lieu de toujours être derrière lui et à lui dire quoi faire, vous avez d’autres alternatives. Lorsque mon enfant avait cet âge, je lui ai, par exemple, offert une cuillère en bois pour qu’il puisse taper sur la table sans casser des choses. J’ai également remplacé son bol de purée par un bol d’eau. Bref, ce que je tiens à vous dire, c’est que vous devez aider votre enfant dans sa soif de découverte en lui offrant des alternatives et non en lui imposant de mauvais traitements.

 

Les comportements que vous devez avoir

Pour éviter que des accidents se produisent, je vous conseille de changer de comportement. Le mieux est d’adopter les bons gestes pour éviter les accidents de la vie courante et les traumatismes qu’ils peuvent causer. Je vous recommande de renforcer la sécurité à la maison avec des barrières de sécurité dans les escaliers. Pour limiter le nombre de chutes, vous pouvez déplacer tous les meubles accessibles aux enfants.

Par ailleurs, vous devez également enlever toute substance dangereuse (produits chimiques et produits ménagers), petits objets et objets dangereux de la vue des enfants. Dans mon article « Comment le comportement des adultes peut empêcher les accidents des enfants », vous pouvez découvrir quelques conseils pour limiter les incidents.

 

Les gestes à faire en cas d’accident

Même si vous ne laissez presque pas loulou sans surveillance, un accident peut survenir. Cependant, si l’enfant se fait mal suite à des chutes accidentelles ou qu’il s’est blessé en s’amusant avec un jouet, vous devez lui offrir les premiers soins avant le recours aux urgences. Pour savoir comment réagir face aux accidents chez les enfants, je vous invite à participer à mes formations continues en premiers secours.