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éviter les accidents des tout-petits

Les 3 secrets des crèches pour éviter les accidents des tout-petits

Ecrit par A l'extérieur de la maison, Enfant, J'ALERTE, JE PROTEGE, JE SAUVE Aucun commentaire

Vous envisagez de laisser votre enfant à la crèche lorsque vous devez vous absenter, mais seulement, vous craignez énormément pour sa sécurité. Je vous comprends. Cependant, je peux vous assurer qu’en choisissant le bon endroit, vous n’avez aucune angoisse à vous faire. Les crèches, qu’il s’agisse de micro-crèches, de crèches collectives, de crèches privées ou de crèches municipales, ont des techniques qui leur sont propres pour assurer la protection de loulou. Et dans cet article, je vous livre les 3 secrets de ces établissements d’accueil pour éviter les accidents des tout-petits !

 

La sécurisation des lieux pour éviter les accidents des tout-petits

 

Les professionnels de la petite enfance sont particulièrement méticuleux quant à la protection maternelle et infantile. En effet, il existe un bon nombre de dangers qui guettent le jeune enfant, surtout dans une vie en collectivité. Les risques infectieux, les risques environnementaux, les risques d’accidents de la vie courante et les risques psychologiques sont à éviter autant que possible.

La majorité des crèches sont pareilles sur un point : la structure d’accueil collectif doit toujours suivre les normes de sécurité et tout le personnel doit être formé régulièrement.

Par exemple, les produits ménagers ne doivent pas se trouver à la portée des petits, les escaliers doivent être équipés de rampes, les fenêtres doivent être dotées d’alèse, les sources de courants doivent être protégées…

 

Suivre des formations sur la prévention des risques

 

Les assistantes maternelles dans les crèches suivent des formations spécialement dédiées à la prévention des accidents pour protéger nos loulous. Pendant les cours, ces professionnels en charge de la garde de nos bouts de chou sont amenés à connaitre tous les risques qui se présentent dans les lieux d’accueil afin de trouver les meilleures techniques pour les éviter.

Chutes, brûlures, petits bobos… tous ces petits incidents de la vie courante sont une source d’inquiétudes en tant que parent. Bien sûr, l’assistante maternelle n’est pas une magicienne pouvant tout gérer à la perfection. Cependant, elle est en mesure de limiter ces accidents autant que possible.

 

Suivre des formations aux premiers secours

 

Les formations aux premiers secours figurent parmi les secrets de l’assistante maternelle et infantile. En tant que formatrice diplômée d’Etat en secourisme, j’ai tenu quelques formations pour les professionnels de la petite enfance.

D’ailleurs, je trouve normal que toutes personnes amenées à s’occuper des bambins suivent ce type de formation. Pendant les cours, le professionnel prend conscience de l’accident domestique et des risques qu’il présente pour les plus jeunes. Ensuite, il est formé à donner les premiers soins essentiels en cas d’éventuels accidents.

Et ces soins varient en fonction de l’âge de l’enfant. Les enfants âgés de moins d’un an qui sont victimes d’étouffement ou d’intoxication doivent, par exemple, recevoir des soins spécifiques. Enfin, la nounou est également amenée à apprendre comment bien utiliser les accessoires pour bébé et les risques qu’ils représentent comme la table à langer, le lit parapluie…

 

risque de brûlure chez l'enfant

Attention au risque de brûlure chez l’enfant

Ecrit par Enfant Aucun commentaire

Il est tellement agréable de voir son enfant grandir. Et pourtant, au fur et à mesure qu’il se développe, le chérubin devient plus mobile et donc plus exposé aux accidents domestiques. Le risque de brûlure chez l’enfant figure parmi les accidents les plus fréquents dans les foyers. Il est alors impératif de faire attention et d’éviter les accidents domestiques en adoptant les bons gestes.

 

Les moyens de prévenir le risque de brûlure chez l’enfant

Vous pouvez parfaitement prévenir les accidents domestiques en ayant les bons réflexes. Pour Camille, une merveilleuse maman de 5 enfants que j’ai eu l’occasion de questionner, la prévention des risques par la prudence lui a permis d’éviter un accident de la vie courante grave pendant toutes ces années pendant lesquelles elle a pris soin de ses petits bouts. Voici ce qu’elle a fait :

  • Ne pas oublier des liquides chauds sur une table basse. Bien évidemment, l’erreur est humaine. Ce que je conseille, c’est de faire le plus d’attention possible.
  • Tourner les poignées des casseroles, théières, cafetière et autre ustensile contenant du liquide chaud vers le mûr. Ce réflexe doit s’appliquer principalement lorsque vous êtes dans la cuisine pour éviter de brûler la surface corporelle des enfants.
  • Tenir les cordons électriques d’appareil source de chaleur comme la friteuse, la bouilloire ou encore le fer à repasser hors de la portée des chérubins.

À part ces petits gestes adoptés par Camille, je vous conseille également de bien vérifier la température de l’eau avant le bain et de ne jamais laisser vos enfants sans surveillance dans la baignoire pour éviter qu’ils tournent le robinet d’eau chaude. En effet, en cas de brûlure pendant le bain, les traumatismes peuvent être conséquents. Il en est de même lorsque vous faites un barbecue. Les coups de soleil sont également des facteurs pouvant déclencher des séquelles sur la surface du corps. Vous devez donc y prêter attention et utiliser des crèmes spécifiques en cas de besoin.

 

Quelques installations conseillées

Pour limiter les risques d’hospitalisation pour cause de brûlures, vous pouvez installer un détecteur de fumée chez vous. Vous pouvez apprendre à vos loulous le son de l’alarme afin qu’ils puissent évacuer les lieux en cas d’alerte. Je vous conseille également de préparer un plan d’évacuation et de le pratiquer de temps en temps afin que les enfants puissent éviter les flammes et sortir rapidement de la maison en cas d’incendie. L’installation de cache-prise sur toutes les sources de courant électrique se trouve également être une solution pour éviter les accidents.

 

Les bons réflexes en cas de brûlure

La surface de la peau des enfants est beaucoup plus sensible que celle des adultes. En cas de brûlures superficielles, vous devez immédiatement rafraichir la peau avec de l’eau froide pour éviter les lésions cutanées. Pour cela, vous pouvez très bien plonger la main ou le doigt brulé dans un récipient contenant de l’eau. De nombreux parents conseillent également les compresses d’eau froide, la compresse stérile et l’antiseptique pour soulager la douleur. Afin de calmer les démangeaisons et permettre à l’épiderme de cicatriser rapidement, vous pouvez demander conseil auprès de votre pharmacien. Celui-ci pourra vous conseiller une pommade adaptée comme la Biafine, par exemple. Si une cloque se forme, vous ne devez pas la percer. Et si la brûlure est grave, le mieux est de tout de suite appeler le 911 ou vous rendre aux urgences pour bénéficier des premiers soins, mettre un pansement sur la lésion de la peau, et avoir un avis médical.

Pour vous aider à limiter les risques de brûlure chez l’enfant et atténuer les plaies douloureuses au plus vite si un accident survient, je donne une formation aux premiers secours dans mon école de secourisme.

soigner les petits bobos

Comment soigner les petits bobos ?

Ecrit par Enfant Aucun commentaire

Les petites coupures au doigt, les brûlures légères sur l’épiderme, les bosses sur la tête ou encore les bleus sur les genoux que nous appelons les petits bobos du quotidien sont quasi inévitables chez l’enfant. Et pourtant, lorsqu’un accident survient, on a tendance à paniquer. Rassurez-vous ! Dans la majorité du temps, ces petites blessures sont sans gravité. Comment faire face à ces petits problèmes de la vie quotidienne ? Découvrez quelques-uns de mes astuces pour soigner les petits bobos !

 

Ma méthode pour soigner les petits bobos

 

Avant de soigner une plaie, il est impératif de vous laver correctement les mains. Une fois certain que vos mains sont bien propres, vous pouvez commencer à nettoyer la plaie avec du sérum physiologique. Le sérum est fortement conseillé s’il s’agit d’une petite blessure à la suite d’une chute sur du sable ou sur un terrain caillouteux. En tant que parent, il est important de vérifier la date du rappel pour le vaccin du tétanos, qui peut se contracter lors des petites blessures dans la terre, boue, … Une fois la plaie simple nettoyée, vous pouvez vous servir d’une compresse stérile ou tout simplement de linges stériles pour sécher le bobo. Pour la désinfection de la plaie, je vous conseille les antiseptiques qui sont moins douloureux que l’alcool et beaucoup plus rassurants pour les enfants. En cas de doute concernant l’utilisation d’un antiseptique, vous pouvez parfaitement demander conseils auprès d’un pharmacien ou de votre médecin ou pédiatre. Après 2 ou 3 jours de cicatrisation, vous pouvez laisser les petits bobos sécher à l’air libre. Cependant, il est nécessaire de faire comprendre à votre enfant qu’il ne faut pas toucher aux croûtes pendant le processus de cicatrisation.

 

Mes techniques pour soulager un hématome

 

Les hématomes, notamment les bleus et les bosses, sont parfois douloureux. Pour soulager la douleur le plus rapidement possible, je trouve qu’il n’y a rien de mieux qu’appliquer du froid. Et plusieurs parents m’ont affirmé la même chose. Si votre tout-petit s’est cogné le genou, la tête ou autre partie de son corps contre le mur ou contre un meuble, je vous conseille d’envelopper quelques glaçons dans un linge propre puis de l’appliquer sur toute la zone douloureuse. Après que la douleur soit atténuée, vous pouvez éviter un gonflement de l’hématome par l’utilisation de crèmes spécifiques comme l’arnica, par exemple. Le pédiatre de votre enfant pourra vous recommander une crème spécifique. Une maman m’a confiée un jour que l’huile essentielle de lavande (pour les enfants plus grands) est également efficace contre les douleurs et permet d’éviter un gonflement de la zone touchée.

Dans le cas des égratignures, des morsures et autres plaies superficielles, vous devez immédiatement désinfecter. Cela évite les éventuelles irritations et démangeaisons. Et pour rassurer le petit bout de choux, je vous conseille de lui mettre un pansement puis de lui faire l’incontournable bisou magique. Cela peut toujours aider.

 

Stopper les petites hémorragies

Un saignement de nez est le plus souvent sans gravité. Vous n’avez pas de quoi vous alerter. Un effort physique trop intense peut être à l’origine de ces petits maux. Lorsqu’une petite hémorragie survient, vous devez tout d’abord inviter l’enfant à s’asseoir puis à se pincer le nez à l’aide d’un mouchoir. Vous devez ensuite incliner légèrement sa tête vers l’avant jusqu’à ce que les saignements s’arrêtent. Une boite de coalgan acheté en pharmacie vous sera d’une aide précieuse si l’enfant est fréquemment atteint de ce trouble. N’oubliez pas d’en mettre dans votre trousse d’urgence.

Les bobos chez l’enfant sont multiples. Pour les éviter, il est préférable d’apprendre les gestes de premiers secours. Et si vous êtes en quête d’une école de secourisme pour vous aider, appelez-moi ! En plus de vous apprendre les meilleurs réflexes à avoir au quotidien, je vais également vous conseiller plusieurs accessoires indispensables pour votre trousse de secours, à l’exemple de la pince à épiler en cas d’écharde, du bandage et de la bandelette, des bandes adhésives, du sparadrap, des compresses…

Voilà comment il faut soigner les petits bobos chez les enfants ! Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à vous inscrire à ma formation sur les gestes de premiers secours bébés et enfants  !

couchage en toute sécurité pour les bébés

Le couchage en toute sécurité pour les bébés

Ecrit par Enfant Aucun commentaire

L’arrivée de votre bébé est un moment magique parfois mêlé de stress. En effet, on ne sait jamais exactement à quoi s’attendre et la peur de ne pas être à la hauteur nous vient souvent à l’esprit. Chers parents et futurs parents, vous n’avez aucune raison de stresser. Je peux vous aider à vous préparer pour l’arrivée de bébé à travers une formation sur les gestes de premiers secours pédiatriques et vous apprendre la prévention des risques. Et dans cet article, je vais aborder le sujet du couchage en toute sécurité pour les bébés et limiter autant que possible les risques de mort subite du nourrisson.

 

Les règles à respecter pour un sommeil sans danger

Pendant ses premiers mois, le nourrisson dort presque tout le temps, sauf bien sûr lorsqu’il a faim ou lorsque sa couche a besoin d’être changé. Pour cette raison, vous devez prêter une attention particulière à son couchage. Et bien plus encore, vous devez adopter les bons gestes pour éviter tout incident une fois qu’il se retrouve dans les bras de Morphée. Afin que votre nouveau-né soit en sécurité une fois dans son petit lit, vous devez notamment :

  • favoriser le couchage sur le dos pour éviter les risques d’étouffement ;
  • éviter le couchage sur le côté parce que le tout-petit risque de basculer sur le ventre et de plus, cette position est très inconfortable.

Mis à part ces règles de base, vous devez impérativement éviter tous les objets qui peuvent couvrir le visage du bébé ainsi que les accessoires de literie comme l’oreiller, le coussin, la couette, le drap, les peluches… Un simple drap-housse et son doudou suffisent. Avant 3 ans, les draps pour recouvrir l’enfant sont formellement interdits. Le mieux est d’opter pour un pyjama ou une gigoteuse bien adaptée à sa taille. Les tours de lit ne sont pas non plus très conseillés. Sauf si vous optez pour un tour de lit bébé fin et non rembourré.

 

Le meilleur couchage en toute sécurité pour les bébés

Il existe de nombreux modèles de lit pour bébé. Pour que votre chambre bébé soit parfaite, vous devez faire le bon choix. Outre le fait d’avoir un lit pour bébé design, vous devez également penser au confort qu’il va procurer. Et le choix risque d’être difficile face aux nombreux modèles actuellement disponibles dans les magasins de puériculture.

Entre berceau, couffin, lit parapluie, lit évolutif, lit bébé à barreaux… lequel est le plus adapté ? Eh bien, vous devez prendre certains critères en compte. Pour les bébés de moins de 6 mois, l’idéal est de choisir le couffin pour bébé et le lit berceau. Au fur et à mesure que loulou va grandir, vous devez le coucher dans un plus grand lit. Entre ses 9 mois et ses 3 ans, l’enfant peut dormir dans un lit à barreaux, dans un lit pliant ou dans un lit parapluie bébé.

Cependant, lorsque vous choisissez un couchage pour bébé, vous devez impérativement tenir compte de sa morphologie. Et si vous faites le choix des lits parapluie, vous devez impérativement choisir un matelas à la bonne taille pour éviter que le bébé se coince entre les parois. Les couchages bébé ne concernent pas uniquement les lits. Il peut aussi s’agir de la poussette ou encore de la table à langer. Afin d’assurer le bien-être de bébé, l’idéal est de toujours opter pour un accessoire suivant les normes de sécurité.

Voilà, vous savez maintenant comment faire pour assurer la protection de votre loulou lorsqu’il dort. Si vous avez encore des questions, n’hésitez pas à me les poser dans les commentaires !

enfants en sécurité avec des animaux de compagnie

Comment garder ses enfants en sécurité avec des animaux de compagnie ?

Ecrit par 0 – 6 mois, 1 an – 2 ans, 2 ans– 3 ans, 3 ans– 4 ans, 4 ans– 5 ans, 5 ans– 8 ans, 7 – 12 mois, 9 ans– 11 ans, Enfant, JE PROTEGE Aucun commentaire

Animal de compagnie et enfant peuvent-ils cohabiter ? Cette question occupe souvent l’esprit des propriétaires d’animaux. Alors, la réponse est oui. À condition que vous preniez quelques précautions au niveau de la sécurité. Pour garder ses enfants en sécurité avec des animaux de compagnie, voici quelques astuces que vous pouvez adopter à la maison !

 

Votre enfant est-il prêt à cohabiter avec un animal de compagnie ?

C’est la première question que vous devez poser ! Certes, un animal contribue au bon développement d’un enfant. Il lui apprend notamment l’amour, la responsabilité et la propreté. Toutefois, vous devez tenir compte de plusieurs critères avant d’adopter un animal de compagnie ou de le laisser s’approcher de votre tout petit.

  • Comment a-t-il réagi en présence d’un animal d’un autre membre de votre famille ou de votre voisin ? Avait-il peur ou au contraire, a-t-il craqué pour ce petit compagnon ?
  • Votre enfant présente-t-il des allergies aux poils ou à la salive lorsqu’il est au contact avec les animaux ? Pour le connaître, n’hésitez pas à faire un bilan allergologique. Si l’allergie est significative, il faut malheureusement ne pas adopter ou bien se séparer de l’animal domestique et le donner à une autre famille d’accueil.
  • Avez-vous suffisamment d’espace pour garder un chien ou un chat dans une pièce différente lorsque vous serez absent ?

Tenir compte du caractère de l’animal

Considérez également le caractère de votre enfant, car le choix d’un animal de compagnie en dépend ! Pour les chiens, ils sont plus patients aux facéties des tout-petits, mais attention à la race de chiens. Par exemple, les chiens à face aplatie comme les bouledogues et les chiens de chasse sont souvent moins agressifs que les chiens de berger ou les dobermans.

Toutefois, sachez que le caractère du chien est généralement déterminé par son éducation. Voilà pourquoi je vous conseille de demander à un vétérinaire les règles d’éducation à apprendre à votre chien.

Vous pouvez également adopter un chat, mais penser à apprendre à votre enfant de respecter son indépendance et de connaître les signes d’agacement de ce compagnon à quatre pattes. Notez bien que les réactions d’un chat sont plus faciles à prévoir que celles d’un chien !

Quant aux rongeurs, je vous conseille d’orienter votre choix vers le chinchilla ou le cochon d’Inde. Ils sont plus affectueux que les lapins ou les hamsters. Ces derniers ont tendance à griffer et à mordre facilement.

Si vous prévoyez d’adopter des oiseaux, ayez l’habitude de garder vos pigeons ou vos perroquets à une certaine distance de votre bébé ou de votre enfant. Surtout lorsque vous nettoyez leur cage. En effet, ces oiseaux peuvent facilement causer des infections respiratoires chez les jeunes.

Et si vous prévoyez d’adopter des animaux d’espèces domestiques ou non domestiques, pensez à demander un certificat de capacité pour être en règle vis à vis de la loi, mais aussi pour connaître les gestes de sécurité de base.

Apprendre les règles de sécurité pour garder ses enfants en sécurité avec des animaux de compagnie

Comme énoncé plus haut, il faut respecter certaines règles de base pour éviter les risques de morsures et de griffures et donc garder ses enfants en sécurité avec des animaux de compagnie. Par exemple :

  • Il ne faut jamais laisser votre bébé ou votre enfant seul avec votre animal de compagnie ;
  • Lorsque bébé dort dans sa chambre, n’oubliez pas de fermer la porte et d’interdire l’animal de dormir avec lui ;
  • Vous devez apprendre à votre enfant d’éviter les gestes brusques envers l’animal (ne pas grimper sur l’animal, ne pas tirer sa queue, ne jamais le frapper, etc.)
  • Idem, vous devez aussi lui apprendre à respecter les animaux lorsqu’ils mangent ou lorsqu’ils dorment. Un animal de compagnie n’est pas un jouet !
  • Essayer de comprendre et d’apprendre à votre enfant le langage des chiens ou des chats, les signes d’agacement, de tristesse ou de colère d’un animal (la posture, les mouvements de la queue, la position des oreilles, etc.)
  • Pensez également à respecter le calendrier vaccinal de votre animal chez le vétérinaire ;
  • Ne négligez surtout pas les règles d’hygiène de l’animal en nettoyant régulièrement son espace (litière, cage, récipient contenant sa nourriture, etc.)

Cette liste est loin d’être exhaustive ! Si vous et votre enfant, vous voulez apprendre les règles de sécurité pour vivre avec des animaux de compagnie, vous pouvez suivre une séance en ligne pendant laquelle je vous expliquerai toutes les techniques essentielles à retenir. Et plus important encore, je peux également vous accompagner sur les astuces pratiques en cas de griffure ou de morsure. Généralement, lorsqu’un enfant a été mordu ou griffé, il faut désinfecter rapidement la plaie avec de l’eau savonneuse et consulter un médecin en cas de blessure grave.

enfant se cogne tout le temps

Au secours, mon enfant se cogne tout le temps

Ecrit par 0 – 6 mois, 1 an – 2 ans, Enfant Aucun commentaire

Une fois que votre bébé a compris comment s’aventurer partout dans la maison, il ne va plus s’arrêter. Dans cette situation, vous ne devez en aucun cas l’empêcher de découvrir le monde. Au contraire, pour le développement du bébé, vous devez toujours être là pour l’encourager. Cependant, si comme ces mamans en détresse qui se sont confiées à moi, vous vous demandez que faire parce que votre enfant se cogne tout le temps, ces quelques conseils vont très certainement vous aider.

 

Ce que vous devez savoir concernant les chutes de l’enfant

Rassurez-vous ! Il est tout à fait normal que votre tout-petit fasse des chutes. Elles peuvent survenir pendant la période nourrisson ou lorsqu’il a acquis la marche, c’est-à-dire entre ses 12 et 15 mois. Dans la plupart des cas, le tout-petit tombe sur la tête. En effet, il n’a pas encore le réflexe de se protéger. Les coups sur la tête sont appelés des traumatismes crâniens. Ces traumatismes peuvent être sans gravité ou au contraire entraîner des séquelles comme une perte de connaissance ou des hématomes. En cas de trauma crânien, vous devez impérativement aller chez le pédiatre pour pouvoir bénéficier d’un examen clinique. Et si vos enfants subissent des blessures ou se retrouvent avec une bosse sur la tête après s’être cognés, le spécialiste va vous indiquer les soins adaptés.

D’après les spécialistes, les traumatismes de la boîte crânienne de l’enfant ne sont pas graves dans 98 à 100 % des cas. Cependant, il existe des exceptions. Surtout si après avoir cogné un objet d’une manière trop violente, des vomissements surviennent. Dans ce type de situation, vous devez vous rendre immédiatement aux urgences.

 

Comment réagir lorsque votre enfant se cogne tout le temps ?

Se cogner la tête contre le mur ou contre un meuble n’est pas bien grave. Cependant, cela peut faire mal. Le premier réflexe à avoir, c’est de rester calme. Vous ne devez pas vous affoler au risque d’effrayer votre enfant encore plus. Afin qu’il puisse se soulager, vous pouvez le laisser pleurer pendant quelques minutes. Après cela, vous devez essayer de calmer les pleurs de votre petit bout. Pour réussir à calmer un enfant en pleur, vous pouvez le rassurer avec une voix douce. Chez certains enfants, d’après la confession de plusieurs parents, leur donner le biberon permet de les apaiser plus rapidement. Et une fois que votre bambin a retrouvé son calme, vous pouvez lui faire quelques pansements, à condition bien sûr qu’il ne s’agisse pas de blessures graves. Autre alternative, vous pouvez placer du glaçon sur la zone concernée pour soulager les douleurs.

 

Comment prévenir les cognements chez l’enfant ?

Même si votre loulou doit apprendre que tomber fait mal, il ne doit pas pour autant être victime de traumatisme. Il existe plusieurs moyens d’amortir les chocs et ainsi éviter une fracture du crâne chez votre enfant. Pour les plus petits, je vous conseille l’installation de différentes protections comme les protège-coins et les protège-angles de mur. Vous pouvez les retrouver facilement sur le marché. Les casques antichocs spécialement destinés aux enfants qui font leurs premiers pas sont également une bonne idée. Kevin et Manon, par exemple, ont opté pour cette solution afin de protéger leur fille Priscilla. En effet, celle-ci a déjà reçu un choc en se cognant et a énormément inquiété ses parents. Depuis qu’elle se promène avec son joli casque, les risques de lésions traumatiques, de traumatisme crânien léger, d’état de stress et de toute autre conséquence grave pouvant survenir deviennent minimes.

Afin de mieux protéger votre enfant et savoir quoi faire lorsqu’il se cogne la tête trop souvent, je vous invite à suivre une formation au secourisme dans mon école.

 

La parentalité positive pour plus de sécurité

Ecrit par Enfant Aucun commentaire

La parentalité n’est pas toujours facile et le parent parfait n’existe pas. Au cours de mon expérience, de nombreux parents m’ont confié qu’ils se surprennent parfois à faire des choses qu’ils se sont promis de ne pas reproduire en devenant parents. Face à ces parents qui ressentent tellement de culpabilité et les parents dépassés, je trouve essentiel d’aborder le sujet de la parentalité positive. Il s’agit sûrement de la meilleure façon d’assurer la sécurité émotionnelle des enfants et de leur offrir une bonne éducation.

 

La parentalité positive, c’est quoi ?

Choisir la parentalité positive pour éduquer les jeunes enfants est très encouragé. Il s’agit du juste milieu entre le laxisme et l’éducation autoritaire. Être laxiste, c’est être excessivement indulgent et tolérant envers ses bambins. L’éducation autoritaire concerne les parents autoritaires et trop stricts qui appliquent des règles militaires sur leurs propres enfants.

Pour moi, la parentalité positive, c’est savoir mieux gérer les situations les plus difficiles de la petite enfance comme les pleurs excessifs, les colères, les cris à longueur de journée… sans perdre son calme. Au lieu de crier, parents et enfants privilégient la communication non violente. La parentalité positive, c’est faire preuve de bienveillance et savoir poser des limites. C’est également le fait d’anticiper toutes les risques liées à la sécurité et à la santé de l’enfant. Au lieu de directement donner des fessées pour faire obéir, les super parents favorisent le dialogue bienveillant pour l’éducation de l’enfant. Cette nouvelle manière d’éduquer s’avère très favorable à la réussite scolaire.

 

Les démarches pour passer à la parentalité positive

Si comme de nombreux parents, vous souhaitez, vous aussi, utiliser le concept de la parentalité positive pour instaurer une relation parent-enfant plus harmonieuse et plus épanouie, vous faites le bon choix. Cependant, vous devez vous rappeler qu’il est impossible de devenir des parents parfaits. Les erreurs sont humaines et vous ne devez pas vous culpabiliser en cas d’échec. Pour faire un pas vers ce concept de la parentalité bienveillante, vous devez tout d’abord vous rappeler de vos blessures d’enfant pour éviter de reproduire les erreurs de vos parents et de vos grands-parents autrefois. Ensuite, vous devez prendre conscience des impacts négatifs des mots que vous employez et de vos attitudes. Apprendre de nouvelles façons de vous exprimer est également indispensable pour des enfants heureux et respirant le bon vivre.

Une bonne communication avec les enfants nécessite une oreille bienveillante. Il vous faut impérativement arrêter de crier et de donner des punitions exagérées. Vous devez procéder par un discours parental calme en toutes situations. Les parents positifs doivent également toujours soutenir leurs enfants.

 

L’importance du coaching

L’éducation positive, ça s’apprend. Afin d’assurer le développement de l’enfant grâce à une discipline positive, un accompagnement parental est nécessaire. Les coups de main d’un coach peuvent énormément aider dans cette transition. À travers un programme de coaching spécifique, vous pourrez faire face à vos émotions et vos sentiments pour pouvoir mieux les contrôler, en savoir davantage sur l’intention bienveillante et tout savoir sur les pratiques parentales positives. L’accompagnement des parents par des coachs permet aussi d’avoir une oreille attentive à vos craintes. Après le programme, vous allez être capable d’appliquer une toute nouvelle façon d’éduquer et ainsi avoir une vie de famille beaucoup plus heureuse avec une meilleure gestion des conflits.

J’espère que cet article vous a éclairé sur les méthodes pour devenir des parents bienveillants afin d’assurer l’équilibre émotionnel de vos enfants. L’application de la parentalité positive mène à une famille harmonieuse. L’application de cette mode d’éducation peut devenir beaucoup plus facile grâce aux séances de coaching. Je vous recommande donc de faire appel à un coach pour bénéficier d’un soutien à la parentalité et ainsi réussir cette transition avec brio.

 

Formation premiers secours

Formation premiers secours enfant en famille à Toulouse

Ecrit par 3 ans– 4 ans, 4 ans– 5 ans, 5 ans– 8 ans, 7 – 12 mois, 9 ans– 11 ans, Enfant Aucun commentaire

Je suis Amandine, une formatrice SST diplômée et agréée d’État en secourisme et en même temps une maman d’un petit garçon. Je vous propose une formation premiers secours enfant en famille à Toulouse. En effet, je suis moi-même convaincue que tout le monde peut être témoin d’un accident. Pourquoi apprendre les gestes de premiers secours aux enfants ? Quels avantages d’apprendre ces gestes et réflexes en famille ? Que pouvez-vous apprendre au cours des formations que je donne à Toulouse ?

 

Initiation au secourisme pour les petits : les avantages

J’insiste toujours sur le fait que n’importe qui peut être le témoin d’accidents de la vie courante. Pour éviter les accidents mortels et sauver des vies, je conseille d’apprendre les gestes qui sauvent dès le plus jeune âge. Se former aux premiers secours permet aux enfants de donner directement l’alerte en cas d’accidents domestiques. Suite à une formation spécialement pensée pour apprendre à porter secours à une victime, les tout-petits peuvent appliquer tous les gestes nécessaires en situation d’alerte. Durant les sessions de formation, je donne notamment des cours sur comment réagir en cas de perte de connaissance, de brûlures ou encore de saignement. Je vais également aborder le sujet sur quand et comment contacter les sapeurs-pompiers ainsi que sur l’importance de ce geste pour une victime inconsciente.

 

Apprendre les premiers secours en famille, une aubaine à saisir

Le secours des personnes peut parfaitement s’apprendre en famille. D’ailleurs, je conseille vivement cette option si vos enfants sont encore petits. Un bon nombre de gestes (massage cardiaque, bouche-à-bouche, appel des pompiers…) peut être réalisé en sauvetage. Il est beaucoup plus facile pour l’enfant de les assimiler lorsqu’il est en présence de ses parents et pourquoi pas de toute sa fratrie. Par ailleurs, au cours de mes expériences, j’ai constaté que les enfants apprennent beaucoup mieux lorsque l’initiation au secourisme est ludique et surtout lorsqu’il peut la partager avec ses proches.

 

L’âge idéal pour suivre une formation premiers secours à Toulouse

L’apprentissage des gestes de premiers secours peut se faire dès l’âge de 3 ans selon la Croix Rouge. Et je suis entièrement d’accord. Plus l’enfant est jeune, plus l’apprentissage est facile. En situation d’urgence, vos bouts de chou peuvent sauver des vies. Et cela, rien qu’en sachant appeler les urgences.

Susie, une petite fille de 3 ans de Northumbrie, en Angleterre a sauvé la vie de sa maman ayant subi une violente crise d’allergie. Ce qu’elle a fait ? Elle a contacté les secours spécialisés du 112. Puis, elle a suivi toutes les instructions de l’équipe de secouriste jusqu’à l’arrivée des secours.

Si vous aussi, vous souhaitez que votre loulou fasse une initiation aux premiers secours dès son plus jeune âge, je peux vous apporter mon aide à Toulouse. N’hésitez pas à contacter l’école pour en connaitre davantage sur nos formations. Et pour bien préparer votre bambin, vous pouvez vous aider de l’article sur « comment parler de sécurité avec son enfant ? ».